|
|||
|
|||
 |
Forum
Forum relatif au club de rugby de La Rochelle qui évolue sous les couleurs jaunes et noires
Communauté, partage, liberté d'expression !
Venez agrandir la communauté et parler de
Basket -
Foot -
Handball -
Volley -
Natation, water polo -
Nautisme -
Athlétisme, triathlon -
Stade Rochelais -
Rupella Basket -
Aller à: Liste des forums•Index du forum•Nouveau sujet•Chercher•Identification•Aperçu avant impression
Maxime Gau : « Je savoure chaque instant »
Envoyé par:
yoyo
(Modérateur)
Date: Friday 16 September 2016 10:41:38
[www.sudouest.fr]
Publié le 16/09/2016 . Mis à jour à 09h39 par Recueilli par Benjamin Deudon
Maxime Gau (25 ans, 1,75 m, 119 kg) est l’un des trois talonneurs sur qui peut s’appuyer l’équipe, avec Hikaïro Forbes et Jérémie Maurouard, qu’il a connu au Racing © Pascal Couillaud
Arrivé l’an dernier en tant que pilier, le talonneur Maxime Gau est à l’aise dans un club où il a retrouvé son ancien colocataire
Sud Ouest » Il y a un an et demi, vous étiez pilier à Albi, en Pro D2, et vous ne rentriez pas dans les plans du coach. Aujourd'hui, vous êtes l'un des talonneurs du leader du Top 14. Ça va vite, le rugby ?
Maxime Gau Oh oui, ça va vite. Mais ça va vite dans les deux sens, le bon comme le mauvais. Donc je profite de ces moments, je savoure chaque instant au maximum. Parce que je sais que ça peut descendre très vite, je l'ai vécu à Albi, où je jouais beaucoup avant de ne plus jouer du tout. Je connais les deux sens.
On vous sent de plus en plus à l'aise dans cette équipe.
Oui, c'est sûr. On me donne la possibilité d'avoir du temps de jeu, de m'épanouir dans ce que je fais et ce que j'aime faire donc j'essaie de le retranscrire sur le terrain, et de faire au mieux pour l'équipe.
L'an passé, vous vous étiez reconverti au moment de la blessure de David Roumieu. Vous venez donc de vivre votre première intersaison en tant que talonneur ?
Oui, c'était la première en tant que talon, j'avais toujours dépanné à droite, à gauche. Ça s'est plutôt bien passé. Je commence à connaître les compartiments et les petits vices du poste au niveau de la mêlée, des lancers. J'essaie de travailler pour être le meilleur dans tous les compartiments possibles du poste.
Jean-Pierre Elissalde disait que vous étiez trois talonneurs de bon niveau, c'est important pour votre progression ?
Oui, c'est très important d'avoir de la bonne concurrence, on s'apprécie tous. Ça nous pousse à être meilleurs en match, c'est une bonne émulation. Ils m'aident beaucoup, on travaille beaucoup avec « Globus » (Akvsenti Giorgadze, NDLR) sur les gestes, la précision. Ça m'apporte beaucoup d'être avec des joueurs qui ont toujours occupé ce poste-là.
Au Racing, vous étiez déjà avec Jérémie Maurouard (de deux ans son cadet) au centre de formation et avec les Espoirs ?
Oui, on était ensemble, on était même colocataires dans un appartement (sourire).
C'est donc vous qui l'avez fait revenir pour recréer cette colocation ?
(Rires.) Non, mais il m'envoyait des messages pour savoir comment ça se passait. Je lui ai expliqué, mais c'est Patrice qui l'a fait venir. Je suis content de le retrouver.
Vous étiez son pilier à l'époque, et non pas son concurrent ?
Oui, c'est ça. On n'était pas concurrents, je jouais à gauche ou à droite.
Et alors, la concurrence, ça change une amitié ou pas ?
(Sourire.) Non, franchement pas. On est souvent ensemble et on s'entend toujours bien, on se pousse dans le bon sens.
Vincent Rattez, un autre ancien Racingman, est également arrivé cet été. C'est pour que vous vous sentiez encore mieux ?
(Rires.) Oui, c'est vrai qu'on est pas mal d'anciens Racingmen, puisque j'ai aussi joué avec Vincent en jeunes, même si je le connais un peu moins. C'est quand même cool de le revoir, même si je l'ai déjà revu en Pro D2 (où Vincent Rattez jouait à Narbonne, NDLR).
Patrice Collazo, qui était votre entraîneur en Espoirs, vous connaît sur le bout des doigts, c'est difficile de le feinter ?
Ça, là-dessus, c'est sûr (sourire), il nous connaît très bien.
Vous allez retrouver Brive, une équipe connue pour sa capacité à faire déjouer son adversaire, avec une mêlée à l'ancienne, vous vous êtes parlé de ça, cette semaine ?
Non, pas entre nous. Mais on les connaît déjà, on les a joués l'année dernière. On sait que ce sont des roublards, qui utilisent beaucoup de vice. À nous de ne pas tomber dans leur jeu et de rester concentrés sur notre rugby, et notre plan de jeu. Car je pense qu'en mêlée, ils feront très peu d'erreurs.
Publié le 16/09/2016 . Mis à jour à 09h39 par Recueilli par Benjamin Deudon
Maxime Gau (25 ans, 1,75 m, 119 kg) est l’un des trois talonneurs sur qui peut s’appuyer l’équipe, avec Hikaïro Forbes et Jérémie Maurouard, qu’il a connu au Racing © Pascal Couillaud
Arrivé l’an dernier en tant que pilier, le talonneur Maxime Gau est à l’aise dans un club où il a retrouvé son ancien colocataire
Sud Ouest » Il y a un an et demi, vous étiez pilier à Albi, en Pro D2, et vous ne rentriez pas dans les plans du coach. Aujourd'hui, vous êtes l'un des talonneurs du leader du Top 14. Ça va vite, le rugby ?
Maxime Gau Oh oui, ça va vite. Mais ça va vite dans les deux sens, le bon comme le mauvais. Donc je profite de ces moments, je savoure chaque instant au maximum. Parce que je sais que ça peut descendre très vite, je l'ai vécu à Albi, où je jouais beaucoup avant de ne plus jouer du tout. Je connais les deux sens.
On vous sent de plus en plus à l'aise dans cette équipe.
Oui, c'est sûr. On me donne la possibilité d'avoir du temps de jeu, de m'épanouir dans ce que je fais et ce que j'aime faire donc j'essaie de le retranscrire sur le terrain, et de faire au mieux pour l'équipe.
L'an passé, vous vous étiez reconverti au moment de la blessure de David Roumieu. Vous venez donc de vivre votre première intersaison en tant que talonneur ?
Oui, c'était la première en tant que talon, j'avais toujours dépanné à droite, à gauche. Ça s'est plutôt bien passé. Je commence à connaître les compartiments et les petits vices du poste au niveau de la mêlée, des lancers. J'essaie de travailler pour être le meilleur dans tous les compartiments possibles du poste.
Jean-Pierre Elissalde disait que vous étiez trois talonneurs de bon niveau, c'est important pour votre progression ?
Oui, c'est très important d'avoir de la bonne concurrence, on s'apprécie tous. Ça nous pousse à être meilleurs en match, c'est une bonne émulation. Ils m'aident beaucoup, on travaille beaucoup avec « Globus » (Akvsenti Giorgadze, NDLR) sur les gestes, la précision. Ça m'apporte beaucoup d'être avec des joueurs qui ont toujours occupé ce poste-là.
Au Racing, vous étiez déjà avec Jérémie Maurouard (de deux ans son cadet) au centre de formation et avec les Espoirs ?
Oui, on était ensemble, on était même colocataires dans un appartement (sourire).
C'est donc vous qui l'avez fait revenir pour recréer cette colocation ?
(Rires.) Non, mais il m'envoyait des messages pour savoir comment ça se passait. Je lui ai expliqué, mais c'est Patrice qui l'a fait venir. Je suis content de le retrouver.
Vous étiez son pilier à l'époque, et non pas son concurrent ?
Oui, c'est ça. On n'était pas concurrents, je jouais à gauche ou à droite.
Et alors, la concurrence, ça change une amitié ou pas ?
(Sourire.) Non, franchement pas. On est souvent ensemble et on s'entend toujours bien, on se pousse dans le bon sens.
Vincent Rattez, un autre ancien Racingman, est également arrivé cet été. C'est pour que vous vous sentiez encore mieux ?
(Rires.) Oui, c'est vrai qu'on est pas mal d'anciens Racingmen, puisque j'ai aussi joué avec Vincent en jeunes, même si je le connais un peu moins. C'est quand même cool de le revoir, même si je l'ai déjà revu en Pro D2 (où Vincent Rattez jouait à Narbonne, NDLR).
Patrice Collazo, qui était votre entraîneur en Espoirs, vous connaît sur le bout des doigts, c'est difficile de le feinter ?
Ça, là-dessus, c'est sûr (sourire), il nous connaît très bien.
Vous allez retrouver Brive, une équipe connue pour sa capacité à faire déjouer son adversaire, avec une mêlée à l'ancienne, vous vous êtes parlé de ça, cette semaine ?
Non, pas entre nous. Mais on les connaît déjà, on les a joués l'année dernière. On sait que ce sont des roublards, qui utilisent beaucoup de vice. À nous de ne pas tomber dans leur jeu et de rester concentrés sur notre rugby, et notre plan de jeu. Car je pense qu'en mêlée, ils feront très peu d'erreurs.
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.