Forum

[video.rugbyrama.fr]

Muri Aguillon et Vito dans ce 15 .
felicitations à eux et au club

je ne vois pas comment on peut ne pas mettre botia dans le XV type de la saison

Oui Botia est juste obligatoire

lar86 écrivait:
-------------------------------------------------------
> je ne vois pas comment on peut ne pas mettre botia
> dans le XV type de la saison


Surement à cause de sa polyvalence cette saison mais pas la remise en cause de son talent .

Pour info l'équipe type du figaro et de sports:

Deux stars (Vito, Nadolo), des révélations françaises (Penaud, Dupont, Iturria, Baille), des valeurs sûres (Guirado, Dulin, Lopez). Voici le XV-type de la saison selon nos deux spécialistes rugby.

Avec Arnaud Coudry
15 Dulin (Racing 92)

A 26 ans, c’est la saison de la maturité pour l’arrière du club francilien. Ses relances sont toujours aussi lumineuses mais, progrès notable, il s’emploie désormais à faire la passe qui permet à l’action de se poursuivre. Sa présence au point de chute des ballons hauts est toujours aussi efficace. Logiquement, pendant le Tournoi des six nations, il a repris sa place à l’arrière du XV de France au détriment du Clermontois Scott Spedding. L’arrière fidjien de la Rochelle, Kini Murimurivalu, et le numéro 15 de Brive, Gaëtan Germain, meilleur buteur du championnat (319 points), complètent le podium.
14 Waisea (Stade Français)

A Paris depuis 2012, l’ailier fidjien - Waisea Nayacalevu Vuidravuwalu de son nom complet – a affolé les compteurs cette saison. Treize essais en Top 14 (meilleur marqueur à égalité avec son compatriote Watisoni Votu, Pau), quatre de plus sur la scène européenne. Son meilleur rendement depuis son arrivée en France. Ses exploits ont bien aidé le Stade Français à rebondir après l’épisode de la fusion avec le Racing 92 et à remporter le premier titre européen de l’histoire du club. Le Parisien devance le Rochelais Gabriel Lacroix, révélation de la première moitié de la saison.
panoramic_sfrct26032017_001
13 Penaud (Clermont)

Que dire ? Un phénomène. Pour ses vrais débuts chez les pros (1 apparition la saison précédente), le fils d’Alain Penaud a éclaboussé le Top 14 de son talent et de sa vista. Il a pris son envol après la grave blessure de Wesley Fofana, en janvier, pour vite gagner ses galons de titulaire (à 14 reprises). Ses performances ont vite convaincu Aurélien Rougerie à aller voir Franck Azéma pour lui dire que l’heure du gamin était venue. A 20 ans, Damian Penaud épate autant par son insouciance que par ses qualités de joueur. Vif, rapide, des appuis déroutants, une technique individuelle plus que prometteuse. Il a brillé lors des grands rendez-vous, inscrivant un essai en demi-finale (7 au total) avant d’être à l’origine du seul essai de son équipe en finale du Top 14 après une longue relance qui a laissé O’Connor, Mitchell puis Belleau le nez dans le gazon. LA révélation de la saison. Qui lui vaut une première convocation en équipe de France pour la tournée en Afrique du Sud.
12 Botia (La Rochelle)
panoramic_rochk30042017_001

Bon, on l’a placé au centre mais le tonique fidjien a prouvé cette saison qu’il faisait également un flanker redoutable. Dévastateur à l’impact, féroce défenseur, il affiche une ligne de statistiques détonante. Que ce soit en attaque (près de 60 mètres parcourus par match, 5 plaquages cassés…) qu’en défense (près de 90% de réussite au plaquage…). Il est l’un des joueurs les plus craints du championnat (Alexis Palisson, mis KO sur une charge peut en témoigner). Une anecdote l’atteste. Interrogé par Midi Olympique avant la demi-finale sur le Rochelais qui l’impressionnait le plus, le flanker du RCT, Liam Gill, a répondu : «Le 7 et le 12, deux joueurs fidjiens.» Il s’agissait évidemment du seul et unqiue Levani Botia. «C’est dingue ! Pardon, je ne l’avais pas reconnu. Cela montre bien que ce mec sait tout faire. Il m’a impressionné», a conclu l’Australien. Seul bémol : Botia gagnerait à se discipliner un peu plus…
11 Nadolo (Montpellier)

La force brute. L'ailier fidjien au gabarit hors norme (1,96 m, 125 kg) a rapidement joué les terreurs tant en Top 14 (9 essai sen 15 titularisations) qu'en Champions Cup (5 essais en 6 matches disputés). Son credo ? La ligne droite. Nemani Nadolo avance en marchant sur ses adversaires ou en les écartant d'un raffut terrible. Une incroyable force de percussion. Une attraction.
10 Lopez (Clermont)

La saison de l’accomplissement pour le 10 de l’ASM. Il s’est imposé à l’ouverture du XV de France, terminant même meilleur buteur du Tournoi des six nations. Il est également devenu essentiel, incontournable, indispensable, à Clermont. Meneur d’hommes et maître à jouer, alternant ouverture à la main et jeu au pied judicieux, il est également décisif. En demi-finale de Coupe d’Europe face au Leinster ses drops ont fait basculer le match ? Rebelote en demi-finale du Top 14 avec ses deux essais pour mener les Jaunards au Stade de France. Jonathan Sexton en personne l’a adoubé : «C’est l’un des meilleurs ouvreurs en Europe». A 28 ans, le joueur formé à Mauléon, libéré par le départ à La Rochelle de l'ouvreur historique de l'ASM, Brock James, a pris les clés du camion.
9 Dupont (Castres)

L’autre révélation de la saison avec Damian Penaud, 20 ans comme lui. Il est encore en phase d’apprentissage certes, mais ses qualités physiques, son sang-froid déjà digne d’un cornac expérimenté, sa vista, en font déjà un demi de mêlée qui compte. Et solide avec ça. Antoine Dupont a disputé 26 rencontres de Top 14 cette saison (dont 11 comme titulaire) ! Evidemment, son éclosion n’a pas échappé à Guy Novès qui lui a offert ses premières sélections lors du Tournoi des six nations, pour une entrée en jeu remarquée contre le pays de Galles. La saison prochaine, il portera les couleurs du Stade Toulousain. Pour prendre définitivement son envol ?
8 Fearns (Lou)
panoramic_talyo29102016_024

Après une saison en Pro D2, le troisième ligne centre anglais découvrait le Top 14. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il s’est parfaitement acclimaté. Puissant et dévastateur balle en mains, féroce et endurant, Carl Fearns, véritable chef de meute, n’a cessé de mettre Lyon dans l’avancée. Inscrivant, au passage, 8 essais. Ses prestations lui ont valu d’être courtisé par Gloucester, qui lui a fait miroiter qu’un retour en Angleterre pourrait lui valoir une première sélection pour le XV de la Rose. Il avait signé un précontrat avant de se rétracter et de faire part de sa volonté de rester au Lou. Affaire à suivre…
7 Vito (La Rochelle)

La recrue phare de la saison. Le double champion du monde a apporté au Stade Rochelais toute sa science du jeu. A 30 ans, l’habituel remplaçant chez les All Blacks n’est pas venu en vacances en France. Il a partagé son savoir avec les jeunes joueurs. Et, sur le terrain, a fait preuve d’une activité débordante. Grâce à sa technique individuelle au-dessus de la moyenne, Victor Vito parvient toujours à faire jouer derrière lui, délivrant quelques passes après contact somptueuses. Avec lui, La Rochelle a pu développer un peu plus son jeu ambitieux et franchir un nouveau palier.
6 Gill (Toulon)

Au départ, c’était un peu l’inconnu de la troisième ligne varoise. Pourtant, à 24 ans, Liam Gill comptait déjà 15 sélections avec les Wallabies. Il s’est vite fait un nom pour se rendre indispensable (25 matches de Top 14 disputés). Le flanker abat un travail monumental en défense : plaquages, contest dans les rucks. Sans oublier ses relais tranchants en attaque, plus délié que puissant. Malgré cette saison XXL, Mourad Boudjellal hésite à le conserver pour une question de Jiff. Lyon rêve de le récupérer mais les supporters toulonnais se sont mobilisés, ont lancé une pétition sur les réseaux sociaux. Son départ n’est plus certain.
5 Iturria (Clermont)

A 23 ans, le prometteur deuxième-ligne de Clermont continue de franchir les étapes. Joueur mais teigneux, plus mobile que lourd, Arthur Itturia s’est imposé avec l’ASM pour doubler son nombre d’apparitions. Il surprend par son flegme et son aisance technique. Et compense un relatif manque de puissance par une activité de tous les instants. Lui aussi a tapé dans l’œil des sélectionneurs. Mais son KO pris en finale du Top 14 après avoir croisé la route de Nonu l’a obligé à déclarer forfait pour la tournée des Bleus en Afrique du Sud. Mais pas d’inquiétude, on le reverra très vite.
4 J. Du Plessis (Montpellier)

Un abattage impressionnant. Le deuxième-ligne sud-africain de Montpellier crève l’écran. Impossible de ne pas remarquer sa crinière blonde. Et de ne pas constater les dégâts provoqués. Féroce à l’impact, aérien en touche, agressif en défense. A seulement 23 ans, Jacques du Plessis vient d’enchaîner deux saisons de haut niveau dans l’Hérault. On attend la troisième avec impatience.
3 Zirakashvili (Clermont)
panoramic_lster18122016_048

On ne compte plus les piliers adverses broyés par le colosse géorgien. A 33 ans, Davit Zirakashvili fait les beaux jours de la mêlée de Clermont, alignant les matches à plus de 70 minutes. Dur au mal, respecté et craint, il est la pierre angulaire du pack de l’ASM. Son implication défensive est également à souligner. Il sera de nouveau l’un des tauliers des champions de France la saison prochaine.
2 Guirado (Toulon)

Le capitaine du XV de France a de nouveau impressionné par sa capacité à enchaîner les matches pleins. A la pointe du combat avec Toulon et les Bleus, Guilhem Guirado semble inépuisable, indestructible. Solide en mêlée et en touche, il est souvent le premier à sonner la charge, à montrer le chemin à ses coéquipiers du RCT. Avec 27 matches déjà disputés cette saison (Top 14, Champions Cup, XV de France), il lui reste encore la tournée en Afrique du Sud avant de goûter un repos plus que mérité.
1 Baille (Toulouse)

Le pilier gauche a profité des absences pour s’installer en équipe de France. Sept sélections d’affilée avant, mi-avril, le drame. Une rupture du tendon rotulien du genou gauche qui va le tenir éloigné des terrains jusqu’en octobre. Mais, avant ça, Cyril Baille avait passé un cap avec le Stade Toulousain. Tenue solide en mêlée, grosse présence défensive et actif balle en main. Espérons qu’il retrouve vite son meilleur niveau.

Remplaçants :
16 Ivaldi (Lyon)
17 Slimani (Stade Français)
18 L. Jones (UB
19 Gourdon (Stade Rochelais)
20 Parra (Clermont)
21 F. Steyn (Montpellier)
22 Germain (Brive)
23 Hamadache (Pau)

"""Seul bémol, Botia gagnerait à se discipliner un peu plus… """

Encore un grand spécialiste du rugby qui regarde chaque match du top 14 et qui a remarqué que botia était énormément pénalisé cette saison........si vous vouliez la preuve complète de l’incompétence de la plupart de ceux que vous lisez, et bien vous l'avez! Comment peut il balancer cela si il avait fait correctement son métier???

En effet botia fait sa meilleure saison niveau discipline. Journaleux en mousse

Daryl Dixon écrivait:
-------------------------------------------------------
> En effet botia fait sa meilleure saison niveau
> discipline. Journaleux en mousse


Journaleux tout court !

Stat de Levani Botia sur le site de la LNR:

2014/2015:
Fautes

Fautes commises 14
Fautes pour jeu déloyal 5
Fautes techniques 3
Cartons

Cartons jaunes 5
Cartons rouges 1


2015/2016
Fautes

Fautes pour jeu déloyal 6
Cartons

Cartons jaunes 2
Cartons rouges 0



2016/2017

Fautes

Fautes pour jeu déloyal 2

Cartons

Cartons jaunes 2
Cartons rouges 0

Difficile de faire mieux en progression.

Par contre, on peut dire que les arbitres ne lui font pas de cadeau: 2 fautes = 2 cartons



Modifié 1 fois. Dernière modification le 07/06/2017 18:58 par carcharadon.

De memoire il en prend un totalement injustifié sur une charge avec le bras en avant... sur ce genre d'action toulon aurait joué la demie et la finale à 10 durant 1 heure