« J’ai toujours senti le club avec moi. Quand je me suis “pété”, j’étais dégoûté, ça me faisait bien chier, j’en ai pleuré… Mais je me suis fait opérer le 7 septembre, et quand tous tes potes t’envoient des messages le matin même, que le président t’appelle avant… Ce n’est pas un club, c’est une famille », lâche-t-il, les yeux embués.
Ce passage vaut tous les articles cumulés cherchant à expliquer les belles performances du Stade. Le truc en plus, il est probablement là.
Fakato écrivait:
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> « J’ai toujours senti le club avec moi. Quand je
> me suis “pété”, j’étais dégoûté, ça me faisait
> bien chier, j’en ai pleuré… Mais je me suis fait
> opérer le 7 septembre, et quand tous tes potes
> t’envoient des messages le matin même, que le
> président t’appelle avant… Ce n’est pas un club,
> c’est une famille », lâche-t-il, les yeux embués.
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> Ce passage vaut tous les articles cumulés
> cherchant à expliquer les belles performances du
> Stade. Le truc en plus, il est probablement là.
100% d'accord !
c'est ce qui fait la différence entre les équipes, l'envie de "mourir" pour les potes.