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Comme je vous l’avis dit, à fin que vous puissiez comprendre mon analyse

Je vous donnerai d’autres notions, vous permettant d’intégrer à votre analyse les notions de groupes, équipe, formation, rendement, à partir de la, vous allez aussi pouvoir dire à chaque match le Stade était en état de groupe ou d’équipe, le moment ou la formation qui a évolué est passée de l’état de groupe a l’état d’équipe et enfin vous pourrez définir qu’elle est la formation qui à eu le meilleur rendement.

Mais je tiens à vous dire, que contrairement à ce que l’on a essayé de vous faire croire le groupe dans son ensemble et les joueurs pris individuellement n’est pas et ne sont pas inférieur au passé.

Je m’explique :

Les joueurs de l’an passé qui sont resté au club ne sont pas inférieurs aujourd’hui par rapport à hier.

Certains sont restés au même niveau.
Certains ont progressé. Exemple : Tetlow, Brunet, Giantanomo, Toala, etc..
Les recrues sont égales ou supérieures, leur intégration et bonne. Exemple : Galon, Faure, Todeschini, etc..
Les jeunes du club ont fait une entrée fracassante, tiennent la dragée haute à leur adversaire. Exemple ébaty, Merling, Pierre, Bonneau, etc...

Des joueurs blessés qui reviennent et que l’on a plaisirs à revoir, qui ont était meurtri dans leur chair par leur blessure importante, espérant que dans les semaines avenir, ils auront retrouvé toutes les sensations qui les animées. Exemple : Spark, Orial, etc ...

Sans oublier le rôle important du préparateur physique et du ciné

Ce qui fait dire, enfin non ce qui me fait dire que le groupe est intrinsèquement plus fort que l’an passé.


Entrons maintenant dans la phase psychologique.


Je vous explique :


1ière cas.

Pour comprendre c’est très simple, vous prenez une feuille de papier, vous tracez un premier cercle assez grand, vous y positionnez 35 ou 40 petits ronds à équidistance les uns des autres, chaque rond et un joueur. C’est le groupe et les joueurs en début de saison, ils sont comme des électrons libres, chacun avec leurs potentialités leur force et leur faiblesse mentale.

Le but, donc 1ière phase de l’entraîneur et de ramener tout son monde vers le centre, sur un second cercle concentrique.
Vous tracez donc ce second cercle vous y placé l’ensemble des petits ronds en les accolants les uns aux autres sans qu’ils aient d’espace.
Lorsque l’entraîneur en est la, on appelle cela une équipe, puisque celle-ci est soudée est solidaire.

En 2ième phase le travail de l’entraîneur est d’amener tout son monde vers le centre, on s’aperçoit à ce moment que l’ensemble des ronds ou joueurs va se répartir sur deux cercles en fonction de leur poste, le cercle le plus près du centre sera la formation de base et le second juste derrière les remplaçants. Ils sont solidaires et collectifs.

La troisième phase pour l’entraîneur est d’amener son cercle de formation base, cela chaque semaine en fonction des blessés et des roulements, sa formation définitive qui représentera l’équipe le jour J, le plus prés du centre c’est à dire aux plus proche de son message, c’est la pression et la concentration.


2ième cas.

Vous faite la même chose, mais vous tracez un certain nombre de ronds non pas sur le premier cercle concentrique mais à l’intérieur ou à l’extérieur de ce dit cercle. On dira à ce moment la que l’on a des élections libres donc des joueurs très individualistes.
Le rôle de l’entraîneur est d’éjecter de suite ces électrons libres, afin de pouvoir continuer son travail sur le collectif et de réintégrer ces électrons libres le jour ou ils auront compris que leur intérêt et de rentrer dans le schéma imposé. A ce moment là, nous retrouvons la trame du 1ier cas.

Ou alors l’entraîneur laisse faire, on s’aperçoit qu’a chaque étape il y a des trous, on parlera de base d’équipe ou de base de formation, on constatera le manque de solidarité et de collectif. A ce moment là, on parle d’échec de l’entraîneur.

Lors de la formation pour le jour J, l’entraîneur se voit dans l’obligation de prendre ces élections libres, et c’est pour cela que vous voyez des matchs saccadés par des périodes du jeu collectif ou individuel.

L’entraîneur vient vous dire, mais il est responsable, que cela manque de solidarité, de collectif, de pression et de concentration.


Repenser aux différents matchs vous avez vu, plus ce que je vous ai expliqué précédemment et vous comprendrez qui joue collectif et qui individuel



Aunis

Hare Krishna
Yavah Yavah
Oh grand maitre Aunis
Mais oh! grand maître quelle est donc cette secte très étrange?. La secte des cercles con... centriques?

Aunis, arrête tes longs discours, tes démonstrations vaseuses, tes inlassables palabres. Si tu as envie de penser que nous sommes une bande de cons, libre à toi, pas la peine d'essayer de nous le démontrer, c'est du temps perdu : l'intelligence est la chose du monde la mieux partagée, chacun estimant en avoir assez, et aussi la plus mal partagée, chacun estimant que son interlocuteur souffre de graves carences.
Quelle importance que le groupe soit plus ou moins fort ? Les adversaires, eux, se sont davantage renforcés, Montauban est l'exemple le plus net. Cela suffit.
Confie le résultat de tes belles réflexions au staff. Nous sommes trop bêtes pour comprendre, tu le sais bien.

La démonstration d'Aunis oublie un point essentiel :
La puissance du pack (- Bonesso, - Chasseriau, LLanes bléssé ou vieillissant, une mélée chahutée, une touche pas toujours seraine) qui est sans doute insuffisante pour être compétitif par rapport aux grosses équipes du championnat :

De nombreux matchs perdus cette année s'expliquent avant tout par un pack dominé en phase statique.
Une erreur de jugement à l'intersaison alors qu'il aurait fallu avant tout renouvellé le pack en particulier 2ème, 3ème ligne.

Il faut tenir compte du phénomène d'usure du groupe et également que le niveau des grosses équipes augmente chaque année.

Il faut rester positif mais la solution d'un joker (étranger bien sur) numéro 8 of course nous aiderait bien pour le maintien et quelques victoires permetraient de reprendre confiance au groupe dans la 2ème phase qui sera plus à la portée du SR.
Espérons que les dirigeants changereront d'avis sur ce sujet, il n'est pas trop tard....
Q'en pense JPE ?

Une saison supplémentaire dans le top 16 vaut bien cet investissement et je pense que le problème numéro 1 du stade cette année est ce manque de puissance rédhibitoire dés que le nieau de l'adversaire s'elève.
Rappelons nous les 2 premières saisons du stade dans l'elite ou notre groupe 90% rochelais ne gagnait pratiquement jamais.
Il a fallu quelques joueurs supplémentaires dans le pack pour la saison 99-2000 et tout a changé.
Bonne chance pour samedi...