- L’invincibilité se trouve dans la défense, la possibilité de victoire dans l’attaque.
Celui qui se défend montre que sa force est inadéquate, celui qui attaque qu’elle est abondante.
C'est que nous ont montrés les Anglais pendant 80 minutes .
- Tout le succès d'une opération réside dans sa préparation.
Avez vous eu l'impréssion, à un moment donné, que ce match était préparé ?
- Celui qui excelle à résoudre les difficultés le fait avant qu'elles ne surviennent.
Là, Brunel à dit qu'il connaissait le jeu des Anglais et que leurs dernier match était une démonstration.
- Ne répétez pas les mêmes tactiques victorieuses, mais adaptez-vous aux circonstances chaque fois particulières.
Eh oui, chaque match est particulier et tu n'aligne pas toujours les même joueurs pour jouer TOUS les matchs
- Connais ton ennemi et connais-toi toi-même ; eussiez-vous cent guerres à soutenir, cent fois vous serez victorieux.
Ben oui une évidence ...
- Il est d’une importance suprême dans la guerre d’attaquer la stratégie de l’ennemi.
Attaquez le plan de l’adversaire au moment où il naît.
Et pour ça, il faut avoir une cellule d'analyse, qui te mâche le travail en amont. Et ça nous ne l'avons pas !
- Si le général est généreux, mais incapable de diriger, bienveillant, mais incapable de rétablir l’ordre, ses soldats, tels des enfants gâtés, seront inutiles.
C'est bien le cas de notre "Général" !
- Toute campagne guerrière doit être réglée sur le semblant ; feignez le désordre, ne manquez jamais d'offrir un appât à l'ennemi pour le leurrer, simulez l'infériorité pour encourager son arrogance, sachez attiser son courroux pour mieux le plonger dans la confusion : sa convoitise le lancera sur vous pour s'y briser.
Bon là on est presque bon, nous sommes totalement désorganisés, mais il manque TOUT le reste !
- Soumettre l'ennemi par la force n'est pas le summum de l'art de la guerre, le summum de cet art est de soumettre l'ennemi sans verser une seule goutte de sang.
Et pourtant, notre jeu est basé, depuis 20 ans, sur... la force
- Il faut conduire, en amont du combat, des manœuvres indirectes, dont le but est soit de préparer une situation favorable au combat, soit de vaincre sans même devoir combattre. Dans tous les cas, il ne faut frapper qu’une fois qu’on est sûr de vaincre, d’un seul coup, au point que l’adversaire ne pourra pas se relever.
Ou l'art de préparer son match, comme un professionel, et non comme la préparation au "Feeling " d'un amateur .
Et pour finir, car dans ce livre , c'est comme dans le cochon, tout est bon !
L'invincibilité réside dans dans la défense, les chances de victoire dans l'attaque.